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Podorythmie sensible : projection multisource et multisurface (phase 1)

Résumé

Une de nos intentions lors de la résidence au Metalab est de créer des nouvelles ambiances visuelles pour les spectacles. C’est ce qui nous a porté à explorer Splash, un logiciel permettant de spatialiser et projeter les visuels générés par DrawPlanck.

Intention

Mapper le programme DrawPlanck avec un projecteur et Splash

Installation des outils et équipement

  • Installation de Splash, LivePose et Processing sur un ordinateur fourni par la SAT (linux Pop!)
  • Projecteur au installé au plafond
  • DrawPlanck sur mon ordinateur (macOS)
  • Planche de podorythmie (4) connecté par usb à mon ordinateur
  • Connection ethernet entre mon ordinateur et un modem de la SAT

Logiciels

  • Processing (linux/mac)
  • Splash (linux)
  • OBS avec plugin NDI (linux/mac)
  • Blender (linux/mac)
  • Shmdata (mac)

note: l’installation des logiciels sur les ordinateurs respectifs a requis environ une journée de temps pour qu’ils fonctionnent tous.

Usage et déroulement

Une fois les logiciels en place, nous avons eu la chance d’explorer les fonctionnalités de Splash. À première vue, l’interface est plutôt intuitive, mais requière parfois un certain niveau de connaissances pour des réglages spécifiques.

Dans le but de mapper le coin de mur sur lequel nous projetons, nous avons créer un objet 3d dans Blender. Un plug-in shmdata transmet les changements de l’objet 3d dans blender à Splash. Cela nous a permis de mapper une vidéo échantillon sur le mur.

Après avoir réglé la surface de projection dans Splash, nous avons réussi à envoyer les visuels de Drawplanck par OBS. Afin d’envoyer l’image générée par mon ordinateur via ethernet, nous avons téléchargé un plugin NDI pour OBS.

Cela nous a mets en place le pipeline suivant:

Planche de podorythmie→ Processing→ OBS(capture d’écran) → ethernet-ordi-mac → Splash → projecteur

Dans le but de réduire le nombre d’ordinateurs, nous avons installé Processing sur l’ordinateur linux afin d’enlever l’étape ethernet, ce qui nous permettrait en théorie de faire fonctionner le système sur un seul ordinateur.

Analyse

Une fois installé, il a fallu prendre le temps de comprendre les différents protocoles de communication qui permettent le bon fonctionnement de Splash. Le logiciel sert d’intermédiaire entre l’image générée par l’ordinateur et le projecteur. Ainsi, ce qui est difficile, c’est créer des liens de connections entre chaque agent.

La phase 1 un nous a été surtout un premier test des différents aspects nécessaires pour la projection vidéo avec splash. Elle nous a permis une familiarité générale avec le système que nous devons mettre en place pour faire de spatialiser nos projections. On devra recommencer le tout pour bien s’approprier le processus.

Catégorie : Podorythmie sensible - Journal de recherche
Étiquette : Projection vidéo spatialisée, SAT, Splash

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